Parution : 1991
Appréciation : ****
En 1663, un nourrisson au nez arraché est découvert à l'entrée d'une abbeye de l'Aveyron. Sa vie entière va prend un tournant inattendu quand il va être choisi pour devenir le bourreau de Bellerocaille. Avec lui, commence la lignée la plus importante des bourreaux de France.
J'ai découvert cet auteur avec Même le mal se fait bien. Enchantée par ce roman, je décidai de découvrir d'autres de ses ouvrages. Dieu et nous seuls pouvons est le premier roman de Michel Folco. A l'instar du roman précédemment lu, je fus enthousiasmée. J'ai rapidement accroché et suivi avec plaisir l'histoire de la famille Pibrac.
J'ai apprécié le début du récit. Les premiers paragraphes relatent l'échappée d'un bourdon... bourdon qui va provoquer une succession d'événements à laquelle je ne m'attendais pas en suivant les péripéties du bourdon. Ce décalage ainsi que des personnages hauts en couleur, des esprits libres sont les ingrédients qui me font apprécier le style de Michel Folco. Je continuerai à lire d'autres ouvrages de cet écrivain talentueux.
La couverture du livre m'a intriguée : je me suis demandée si l'auteur avait écrit son roman à partir du tableau ou si le tableau avait été établi après le roman. Dans un passage du livre, un personnage décrit un tableau et il ressemble trait pour trait à la couverture du livre. Après quelques recherches, j'ai découvert que le tableau était une commande de l'auteur : le peintre a donc suivi à la lettre les indications de l'auteur. Belle réussite.
1 commentaire:
Un livre dont j'ai entendu parler à plusieurs reprises et qui me fait envie...
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