Note : 7/10
Assassinat d'un chef de chorale d'origine chilienne dans l'église arménienne de Paris... Disparitions de plusieurs enfants de choeur... Série de meurtres opérée selon un protocole macabre : perforation inexplicable des tympans, mystérieuses traces de pas autour des cadavres : pointure 36...Pour mener l'enquête, deux flics en marge.
Habituellement lorsque je lis un roman de Grangé, j'ai du mal à le quitter avant la fin. Je n'ai pas ressenti cela en lisant Miserere : je l'ai lu sans sentir le besoin frénétique d'arriver rapidement à la fin. Ce roman ne restera pas parmi mes romans préférés de cet écrivain : il n'y a pas de retournements de situation, la fin est vite devinée, le passage dans le club SM est glauque,... Cela étant, les références musicales ne m'ont pas laissé insensible, notamment les paragraphes consacrés au Miserere d'Allegri : les termes utilisés par l'auteur reflètent ce que je ressens à l'écoute de ce miserere.
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